REGLEMENTATIONS |
- La hauteur de survol -
n dehors des procédures de décollage et d'atterrissage, la réglementation impose une hauteur minimum au dessus du sol. Les règles sont précisées dans un document administratif, édité par le Journal Officiel (www.journal-officiel.gouv.fr). Il s'agit des "Règles de l'air et services de la circulation aérienne" avec l'article 4.6.. Celui-ci donne des précisions et fait également référence à octobre 1957.
|
|
Dans la pratique des paramoteurs, le plafond dépend des qualités de la machine : plus on monte, moins l'air est dense, donc capable de 'porter' l'aéronef qui doit alors développer plus de puissance pour continuer à monter.
La plupart des ULM évolue entre 300m et 1500 m au dessus du sol, hauteur permettant de profiter au mieux du paysage.
*************************************************************
Les distances entre votre engin et les divers obstacles
Habitation, pylône, autoroute, nuage
L'altitude maximum réglementaire est de 19 500 pieds (env. 5 950 m).
En dehors des procédures de décollage et atterrissage, la réglementation impose une hauteur minimum au dessus du sol, hors de tout obstacle artificiel ou rassemblement de personnes, de 500 pieds (env. 150 m). La nature des 'obstacles' survolés (usine, agglomération, rassemblement de personnes...) entraîne des hauteurs de survol minimum spécifiques.
L'altitude maximum réglementaire est de 11500 pieds (env. 4000 m).
Dans la pratique, le plafond dépend des qualités de la machine : plus on monte, moins l'air est dense, donc capable de 'porter' l'aéronef qui doit alors développer plus de puissance pour continuer à monter. Compte tenu de ses caractéristiques de puissance et de surface portante, il existe ainsi pour chaque appareil un 'plafond théorique', qui se situe souvent entre 4000 m et 5000 m, à partir duquel il ne monte plus. Cette limite est amplement suffisante pour notre forme d'aviation.
La plupart des ULM évoluent entre 300m et 1500 m au dessus du sol, hauteur permettant de profiter au mieux du paysage.